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Bonjour tout le monde.

Après une période de petite maladie, je reviens vers vous, bien que vous ne soyez  pas vraiment absents de mes pensées…

Bien que mon rôle est clairement de partager et pas un autre, je pense à vous plus que de raison et malgré ma détermination de rester « messager », je ne peux m’empêcher de vous assimiler petit à petit à un sentiment… positif, je vous rassure… et néanmoins grandissant.

Voilà une composante nouvelle qui vient s’ajouter à « l’équation », mais qui au contraire de mes méfiances et contre toute attente, me rassure et me tranquillise.

Je ne sais pas où vous en êtes par rapport à vos lectures, mais aujourd’hui, je vais vous parler d’une de nos perceptions de l’amour.

On assimile facilement le sentiment de l’amour pour une personne avec la volonté et bien des fois avec le sentiment de devoir faire ce qui est bon pour notre aimé(e).

C’est tout naturel. Il est un fait certain que l’amour sans preuves, reste difficile à concevoir.

Malgré tout, il arrive des situations où on se demande comment on peut « faillir »dans notre « mission » pour nos aimés, puisque l’on « donne tout !» et on se plonge alors dans des questionnements qui nous ouvrent la porte à un long périple dans le monde de la douleur.

Plus la douleur est grande, plus notre confiance diminue et plus la confiance diminue moins il y a de place pour la foi. Pas étonnant de voir tant de victimes de « l’amour ».
Les chansons en sont remplies… « l’amour assassin » est un thème dans lequel on baigne, n’est ce pas?

Bon.

Tout ça, est encore une fois, un brouillard épais… pour rester poli.

Ce que vous ne voyez pas, c’est la machine à fumée et l’énorme ventilateur de tournage qui projette ce voile occultant vers vous pour donner ce sentiment mélodramatique à la scène.(Encore😊)
 
Même votre chat a l’air suicidaire. 

C’est vrai, pauvre Pompon.


Revenons aux premières lignes. L’amour associé à la volonté de faire ce qui est « bon ».

C’est là que le « bon » blesse. ( C’est fin, n’est pas ? 😊)

Notre interprétation du « bon pour elle/lui » est la plupart du temps la source du drame.

Quand bien même nos intentions sont parfaites, sans être auparavant nous mêmes dans l’harmonie avec Celui qui nous a conçu et par conséquent, le seul qui sait réellement ce qui est bon pour ceux qu’il a conçus, nos efforts pour combler nos aimés vont, hélas souvent échouer.

On pense qu’il faut que son enfant ait ses cheveux lavés 5 fois par semaine, qu’il mange 3 repas et 2 goûters, qu’il soit habillé chaudement, qu’il ait un smartphone de maximum 1 an et 4 mois, et qu’il n’ait jamais à faire le moindre effort.

Bien sûr j’en ai fait plutôt une caricature, qu’un tableau, cette fois ci, mais il me semble important de comprendre l’importance de la compréhension du « bon » dans notre vie.


Comme je l’ai déjà écrit dans une ancienne publication, les pièges sont nombreux et le mal sait induire en erreur, même les bons cœurs. 

Surtout les bon cœurs, car les autres n’ont pas besoin de beaucoup d’attention pour être égarés.

Vous allez me dire que je répète sans cesse les mêmes idées, que je radote et c’est vrai.

Je ne peux qu’insister sur ce principe fondamental qui est l’une des bases dans le rapprochement à la Vérité et tant pis pour la radote. 

Je ne suis pas là pour le style mais bien pour vous éviter la douleur.

J’ai souvent entendu à la télé « personne ne peut vous entretenir mieux votre Peugeot que Peugeot ».

Bizarrement on n’applique pas ou on n’arrive pas pas appliquer le même slogan ou le même théorème pour nous-mêmes.

Qui d’autre que notre concepteur serait mieux placé pour savoir ce qui est bon pour nous?

Qu’il en soit pour votre corps ou pour votre âme, faite confiance à Celui qui maîtrise les secrets de vos moindre recoins et qui est toujours prêt à intervenir. Toujours. 

Jamais, Il ne refuse son soutien à une personne qui le cherche dans la profonde sincérité.

A travers Son Fils nous avons été libérés. Tout nous est désormais accessible. Tout. 

Jean 15:7 
Si vous demeurez unis à moi et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voulez et vous le recevrez.



Comment alors peut-on vivre le désespoir, la souffrance, la maladie, me direz vous?

J’ai vous l’ai dit au début de mes écrits, je ne vais pas me détourner des questions difficiles ni des sujets qui blessent.

Si je vous laisse avec une affirmation que vous êtes sensés assimiler tout en ayant le sentiment qu’elle représente juste un idéal, je m’associe aux philosophes qui se sont creusés dur les ménages pour la moitié de rien.

La réponse à la question qui vous brûle les lèvres vient justement de ce que j’essayé maladroitement de vous communiquer par rapport à la volonté de donner ce qui est bon.

Certes, du temps où l’homme habitait avec Dieu, il n’y avait nul besoin d’efforts. 
D’ailleurs on est conçus de manière à profiter de l’infinité de Dieu sans se soucier, pas de « boutiquer » pour survivre, mais…

On n’habite plus avec Dieu, hélas, trois fois hélas et on ne pourra pas changer cette donnée… pendant un petit temps du moins.

En conséquence, ce qui s’applique sur la terre, dans notre monde actuel, n’est pas du tout ce qui s’applique là ou on a été conçus et vice versa.

On est nés avec le réflexe de compter sur quelqu’un d’autre pour vivre. Ça vient naturellement.
Personne ne se pose de questions par rapport au « pourquoi » vis-à-vis des besoins d’un bébé. 

Quel parent dit à son nouveau né , « si t’as faim, va te préparer ta panade »?

On le sait sans l’ombre d’un doute qu’il n’est pas du tout capable de subvenir à ses besoins et ne vous inquiétez pas, le bébé, en ce qui le concerne, ça ne lui vient même pas à l’esprit l’idée que sa maman pourrait ignorer ses désirs.

N’est ce pas magnifique? 

Ça vous donne un petit aperçu de l’environnement pour lequel on a été conçus …

Maintenant, une fois qu’on a quitté le monde des bébés, tout change et on est confrontés au monde dans lequel on se réveille… petit à petit.

C’est ici que le conflit commence. On garde les réflexes qui nous disent que la conservation de l’énergie est la règle numéro 1, mais cette règle n’est plus du tout adaptée à notre nouvel environnement/contexte et bien évidemment TOUT nous semble un effort. 

Les difficultés commencent déjà. 

Bon, vous allez me dire « tout ça pour quoi ? »

Tout ça pour dire que Dieu sait parfaitement de quoi on a besoin dans ce monde, mais que nous ne l’assimilons pas forcément au bonheur ou à l’idée du « bon pour nous ».

On trie vite les bénédictions du Seigneur en laissant passer juste celles qui nous semblent agréables à première vue. 

Une vie plus facile, la présence de moyens, l’absence de l’effort ou de privation, la notoriété et plein d’autres choses qu’on n’arrête pas de se souhaiter mutuellement à l’occasion des fêtes ou tout simplement pour marquer notre affection à la fin d’une lettre ou d’une conversation téléphonique.

Un parcours sans « bobos », voilà les bénédictions qu’on désire.

Le concept de la foi est alors dénaturé.

On assimile alors que les parties « déplaisantes » viennent forcément du mal et on essaie de se protéger derrière des formules standard. 

« On ne sait pas pourquoi Dieu permet ces choses » et au fond de nous commencent les lamentations mais on évite d’aller là où on se sent dans l’insécurité, au fond des questions, de peur d’entamer d’avantage le peu de foi qu’on possède.

Encore ce sentiment d’auto protection…

En voilà assez avec la peur. On va une fois encore nettoyer l’inutile, le superflu.

La foi est la foi. Elle doit être « à 360° ».

Si vous avez mis votre être dans sa totalité dans les mains du Seigneur et ça de façon sincère, sachez que rien de ce qui vous arrive ne se produit sans que cela ait été autorisé ou initié par Dieu Lui même.

Vous Lui appartenez et je peux vous assurer qu’Il est FIDÈLE bien au-delà de vos compréhensions.

Tout ce qu’il décide pour vous est réfléchi et favorable à votre accomplissement. Absolument Tout.

Sachez vous réjouir non seulement de ce que vous « percevez » comme bénédiction mais encore plus des reproches que Dieu vous fait, car Il désire le meilleur pour/de vous.

Pas plus tard qu’hier je me suis fait reprendre par le Seigneur en me plaignant de ma situation et ça m’a ouvert les yeux sur la vraie nature de mon problème. La fainéantise est la source d’une grande partie de mes douleurs… et ça fait du bien de se faire rappeler à l’ordre, puisque ça m’a permis de diagnostiquer la source de mes ennuis et ainsi de les éviter.

On est les artisans de nos propres souffrances plus souvent qu’on peut l’imaginer.

Dieu ne fait pas des observations gratuites et ne donne pas des épreuves sans sens.

Faites Lui confiance à 360° et votre vie sera complètement changée.

Matthieu 7

7Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira. 8Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. 9Lequel de vous donnera une pierre à son fils, s'il lui demande du pain? 10Ou, s'il demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent? 11Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est dans les cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent.

Maintenant que vous le savez, vous pourrez devenir imbattables … mais le voulez-vous ?

Paix à vous.

A bientôt